La compile est de retour – Le Très Véritable Groupe Machin …

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le livreur est passé…

…bon, ben c’est pas pour me vanter, mais le livreur est passé et, comme on le voit sur la photo, ça a l’air d’être du lourd…
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ah, ça c’est Machin – Le Très Véritable Groupe Machin …

AH, ÇA C’EST MACHIN !

(trad & texte A.Carriqui / musique JP.Robert)

Y’en a des p’tites brunes,
Y’en a des p’tites blondes,
Y’en a qui sont si noires
Que même le diable peut pas les voir.

Elles font des promesses,
Elles font des accroires,
Elles nous font les aimer
Et après ça nous tourne le dos.

Quand on a commencé, nous au début du groupe,
On voyait pas très bien comment gagner not’ soupe.
On était quatre keums du genre masculin
Et c’est surtout le sport qu’on avait en commun.

Notre première idée, la première de toutes
Fut de constituer une équipe de foot.
On aurait partagé moitié fifty cinquante
Les sponsors et les pubs et les meufs et les rentes.

Mais y paraît que quatre, on n’était pas assez,
Alors, pour nous, le foot ce ne fut pas le pied.

Ah, ça c’est MACHIN !
Et voi-voi, voi-voi, voi-voi…
Ah, ça c’est MACHIN !
Et voi-voi, et voi-voilà !

Et c’est, tout dépités, qu’on a choisi la zique
Laquelle on savait pas, la moderne ou l’antique.
Nous on voulait du rock avec plein de « oh yeahs »,
Ou alors des chansons, comme à la télé,

Mais c’était que l’ancien qu’avait le vent en poupe,
Y’avait que le folklore qui nourrissait son groupe.
Le tempo a passé, les vieux sont devenus jeunes
Ça doit être le Viagra qui les a rendus trop fun.

Et ça nous fait marrer, on rigole, on s’amuse,
Nous on joue du Machin mais on a des excuses…

Ah, ça c’est MACHIN !
Et voi-voi, et voi-voilà !
Ah, ça c’est MACHIN !
Nous on joue du Machin mais on a des excuses…

© trad & texte A.Carriqui - musique JP.Robert

Jean-Pierre ROBERT – Tony CARBONARE – Angel CARRIQUI …

groupe Machin CD En concert

CD Le Très Véritable Groupe Machin En Concert : Jean-Pierre ROBERT – Tony CARBONARE – Angel CARRIQUI

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Pour quelques centimètres de plus (extrait) Jean-Pierre ROBERT Porrentruy 06/03/2015

POUR QUELQUES CENTIMÈTRES DE PLUS (chanson du Très Véritable Groupe Machin interprétée par Jean-Pierre ROBERT)
(paroles Angel CARRIQUI – musique Jean-Pierre ROBERT)


Vieille histoire de la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf sauf que, dans le cas qui nous préoccupe, le bœuf est une andouille et la grenouille, un chaud lapin. 

 

Ma mie, nous étions deux et nous nous aimions tant
Que notre seul amour me semblait important.
Devinez ma surprise à lire en votre lettre
Que vous m’abandonniez pour quelques centimètres.

Ma Julie est partie avec le voisin d’en bas
Qu’en aurait soi-disant un’ bien plus grosse que moi.
Ça reste à voir, moi ça m’étonne
Ou alors y s’pique aux hormones.

Ma mie, sur ce détail, notre amour s’écroula.
Je pense quant à moi que dans ces questions-là,
On ne peut jamais faire d’estimations sérieuses,
Il est des perspectives qui sont souvent trompeuses.

Ma Julie est partie avec le voisin d’en bas
Qu’en aurait soi-disant un’ bien plus grosse que moi.
Peut-être que depuis son plus jeune âge
Y tire dessus comme un sauvage.

Ma mie, tout est fini, à jamais, adieu donc !
N’oubliez pourtant pas ce célèbre dicton :
C’est d’après le travail qu’on voit le spécialiste
Et pas à la grosseur du pinceau l’artiste.

Ma Julie est partie avec le voisin d’en bas,
Je me console un peu, pensant par devers moi
Que même si le volume parfois vous émoustille,
Mieux vaut une p’tite nerveuse qu’une grosse qui roupille.

jpr-2015

bonne année mais gardons l’œil ouvert ! …

bonne année…cette année, on aura beau, une fois de plus, se souhaiter tous les bonheurs du monde, il faudra sans doute encore rester méfiant… …je rappelle qu’on est tous dans le même bain … …mais que certains d’entre nous n’ont pas inventé l’eau chaude…

ma douce amie Margot …

Ma douce amie Margot
Margot, ma douce amie S’est endormie, Regardez comme elle dort. Le soir tombe des nues Et la voit nue Sous ses longs cheveux d’or. Si elle est costaud, C’est parce qu’elle fait du sport. Si j’en avais le temps, Je dirais tant Des charmes de son corps. Elle a de bas en haut, Tout ce qu’il faut Et davantage encore Si elle est costaud, C’est parce qu’elle fait du sport..
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j’aime la nature et les fleu-fleurs des champs …

Ma cabane à la cambrousse
J’aime la nature Et les fleu-fleurs des champs, Mon cœur est tout ému Et, Dieu que c’est touchant.
Je vais m’étendre, Sur l’herbe tendre En écoutant d’un œil distrait L’odeur si forte des forêts, La la la…
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PETITE ANNONCE : LE CONSERVATIF …

…j’ai retrouvé des présentations de morceaux que j’ai écrites pour les prestations scéniques du Groupe Machin… dialogue entre Jean-Pierre Robert et Gilles Kusmeruck… voici la présentation de la chanson Petite annonce :
 

PETITE ANNONCE : LE CONSERVATIF

 

JEAN-PIERRE : …y’en a encore qui veulent passer une annonce ?

GILLES : … moi, moi, j’ai un truc !

JEAN-PIERRE : …alors, qu’est-ce que tu vends, toi ?

GILLES : … un CONSERVATIF !

JEAN-PIERRE : … un quoi ?

GILLES : … un conservatif ! … noir… avec des petites fanfreluches au bout…

JEAN-PIERRE : … mais… ça s’appelle pas comme ça !

GILLES : … oui, mais nous devons faire attention à notre vocabulaire, y’a peut-être des jeunes dans la salle…

JEAN-PIERRE : …(incrédule, regardant le public) …tu crois ?

PUBLIC : … (indigné)… OUUUUUH !…

JEAN-PIERRE : … bon, bon… mais il est neuf, au moins ton «conservatif » ?

GILLES : … je pense bien, je me suis fait rembarrer…

JEAN-PIERRE : … et tu le vends cher ?

GILLES : … un chagrin d’amour, ça n’a pas de prix…

Le salaud qui payait pas ses impôts (vidéo entièrement d’époque) …

Le salaud qui payait pas ses impôts

(A.Carriqui – JP.Robert)

Jeune homme ayant charme facile,
Présentant bien, propre et bien mis,
Dans sa vie plein de filles défilent,
Et c’était que des bonnes amies.
Ouais bon, pour la petite histoire,
Il était pas beaucoup poilu,
Mais à part ce détail notoire,
Il était drôlement bien foutu.

Pointeur appointé d’une agence,
En clair, y bossait au chômedu,
Soi-disant, la faute à pas de chance,
Faute à pas de chance, tiens, mon cul !
De la veine, il en avait à revendre,
D’ailleurs, c’est justement c’qu’y faisait
Mais fallait toujours qu’y truande,
Il a jamais rien déclaré.

Refrain :
Au percepteur, il faisait bisque
Et ne déclarait rien au fisc…
Et ce n’est pas bien.

Soi-disant qu’il y aurait la crise,
Qu’il était pauvre comme Job
Que dans sa petite entreprise,
Ça licenciait, tiens mon job !
Et la moquette dans son deux-pièces,
Soi-disant qu’elle était soldée,
Elle était soldée, tiens mes fesses !
Même chez Carrefour, c’est pas donné.

Refrain :
Au percepteur, il faisait bisque
Et ne déclarait rien au fisc…
Et ce n’est pas bien.

Soi-disant pas un sou en poche,
Qu’y pouvait pas joindre les deux bouts
Avec des frais à droite à gauche,
Des frais à gauche, tiens mon genou !
Un bouffon en imperméable
Un coup, qui s’est pointé chez lui
Le traitant de contribuable,
Tain d’ta race lui a tout pris.

Refrain :
Au percepteur, il faisait bisque
Et ne déclarait rien au fisc…
Et il a été bien puni…

 

© texte Angel Carriqui - musique Jean-Pierre Robert

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elle vendait des bigoudis …

ELLE VENDAIT DES BIGOUDIS

(A.Carriqui – JP.Robert)

C’était un faux vendredi soir,
Une journée assez tristounette
Et j’allais prendre mon mouchoir
Quand on toqua à ma sonnette.

Il est des vieux loups solitaires
Qui choient jamais la bobinette
Et tournent en rond dans leur tanière
Équipée d’un coin kitchenette.

Ce soir, d’après les prévisions,
Je devais me faire cuire un œuf,
J’interrompis l’opération
Quand je la vis dans l’œil de bœuf,
Et fus saisi par l’émotion.

Elle vendait des bigoudis,
Y’en avait des grands, des petits
De ceux pour Lilliputiennes
Jusqu’à ceux des Bigoudènes.
A voir ses formes arrondies,
On restait abasourdi
De persistances rétiniennes
Par centaines.

Elle vendait des bigoudis,
Fallait justement que j’en achète,
Vous tombez bien, que je lui dis
Mettez-moi-z-en deux trois cagettes.

Je trouve que les bigoudis verts,
Ça fait moderne et dynamique
Bien que la collection d’hiver
Me semble plus économique.

Avec son corsage entrouvert,
Par réaction biochimique,
On recevait de l’univers
Une vision vraiment cosmique
En se plaçant un peu de travers.

Elle vendait des bigoudis,
Y’en avait des grands, des petits
De ceux pour Lilliputiennes
Jusqu’à ceux des Bigoudènes.
A voir ses formes arrondies,
On restait abasourdi
De persistances rétiniennes
Par centaines.

Au matin, elle a disparu
Tandis que j’étais aux toilettes
Depuis ce temps, je cours les rues
Les yeux perdus dans mes bouclettes.

A chaque faux vendredi soir,
Je l’attends derrière ma sonnette
Le cœur percé comme une passoire
Qu’est passée à la moulinette.

Avec tous ces bigoudis verts,
Je me sens parfois ridicule
Tout en vivant un vrai calvaire
Parce que les jours de canicule
Ça me met la tête à l’envers.

Elle vendait des bigoudis,
Y’en avait des grands, des petits
De ceux pour Lilliputiennes
Jusqu’à ceux des Bigoudènes.
A voir ses formes arrondies,
On restait abasourdi
De persistances rétiniennes
Par centaines.

© texte Angel Carriqui - musique Jean-Pierre Robert

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