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AH, ÇA C’EST MACHIN !
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Y’en a des p’tites brunes, Elles font des promesses, Quand on a commencé, nous au début du groupe, Notre première idée, la première de toutes Mais y paraît que quatre, on n’était pas assez, Ah, ça c’est MACHIN ! Et c’est, tout dépités, qu’on a choisi la zique Mais c’était que l’ancien qu’avait le vent en poupe, Et ça nous fait marrer, on rigole, on s’amuse, Ah, ça c’est MACHIN ! © trad & texte A.Carriqui - musique JP.Robert
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POUR QUELQUES CENTIMÈTRES DE PLUS (chanson du Très Véritable Groupe Machin interprétée par Jean-Pierre ROBERT)
(paroles Angel CARRIQUI – musique Jean-Pierre ROBERT)
Vieille histoire de la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf sauf que, dans le cas qui nous préoccupe, le bœuf est une andouille et la grenouille, un chaud lapin.
Ma mie, nous étions deux et nous nous aimions tant
Que notre seul amour me semblait important.
Devinez ma surprise à lire en votre lettre
Que vous m’abandonniez pour quelques centimètres.
Ma Julie est partie avec le voisin d’en bas
Qu’en aurait soi-disant un’ bien plus grosse que moi.
Ça reste à voir, moi ça m’étonne
Ou alors y s’pique aux hormones.
Ma mie, sur ce détail, notre amour s’écroula.
Je pense quant à moi que dans ces questions-là,
On ne peut jamais faire d’estimations sérieuses,
Il est des perspectives qui sont souvent trompeuses.
Ma Julie est partie avec le voisin d’en bas
Qu’en aurait soi-disant un’ bien plus grosse que moi.
Peut-être que depuis son plus jeune âge
Y tire dessus comme un sauvage.
Ma mie, tout est fini, à jamais, adieu donc !
N’oubliez pourtant pas ce célèbre dicton :
C’est d’après le travail qu’on voit le spécialiste
Et pas à la grosseur du pinceau l’artiste.
Ma Julie est partie avec le voisin d’en bas,
Je me console un peu, pensant par devers moi
Que même si le volume parfois vous émoustille,
Mieux vaut une p’tite nerveuse qu’une grosse qui roupille.
JEAN-PIERRE : …y’en a encore qui veulent passer une annonce ?
GILLES : … moi, moi, j’ai un truc !
JEAN-PIERRE : …alors, qu’est-ce que tu vends, toi ?
GILLES : … un CONSERVATIF !
JEAN-PIERRE : … un quoi ?
GILLES : … un conservatif ! … noir… avec des petites fanfreluches au bout…
JEAN-PIERRE : … mais… ça s’appelle pas comme ça !
GILLES : … oui, mais nous devons faire attention à notre vocabulaire, y’a peut-être des jeunes dans la salle…
JEAN-PIERRE : …(incrédule, regardant le public) …tu crois ?
PUBLIC : … (indigné)… OUUUUUH !…
JEAN-PIERRE : … bon, bon… mais il est neuf, au moins ton «conservatif » ?
GILLES : … je pense bien, je me suis fait rembarrer…
JEAN-PIERRE : … et tu le vends cher ?
GILLES : … un chagrin d’amour, ça n’a pas de prix…
AH, ÇA C’EST MACHIN !
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Y’en a des p’tites brunes, Elles font des promesses, Quand on a commencé, nous au début du groupe, Notre première idée, la première de toutes Mais y paraît que quatre, on n’était pas assez, Ah, ça c’est MACHIN ! Et c’est, tout dépités, qu’on a choisi la zique Mais c’était que l’ancien qu’avait le vent en poupe, Et ça nous fait marrer, on rigole, on s’amuse, Ah, ça c’est MACHIN ! © trad & texte A.Carriqui - musique JP.Robert
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Le Très Véritable Groupe Machin
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Le Très Véritable Groupe Machin
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Jean-Pierre ROBERT
jeanpierrerobert point net : 10€
![]() |
Jean-Pierre ROBERT
la mayonnaise qui avait mal tourné
![]() CD 2 titres en CADEAU pour 2 CDs achetés
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Le Très Véritable Groupe Machin, Gilles Kusméruck, Jean-Paul Simonin, Tony Carbonare, Jean-Pierre Robert & Jean-Michel Martin dit Tintin à la sono font une pub éhontée à leur parolier préféré : Angel Carriqui, auteur de text(il)es.
POUR QUELQUES CENTIMÈTRES DE PLUS
(paroles Angel CARRIQUI – musique Jean-Pierre ROBERT)
« Vieille histoire de la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf sauf que, dans le cas qui nous préoccupe, le bœuf est une andouille et la grenouille, un chaud lapin ». (Angel CARRIQUI)
Ma mie, nous étions deux et nous nous aimions tant
Que notre seul amour me semblait important.
Devinez ma surprise à lire en votre lettre
Que vous m’abandonniez pour quelques centimètres.
Ma Julie est partie avec le voisin d’en bas
Qu’en aurait soi-disant un’ bien plus grosse que moi.
Ça reste à voir, moi ça m’étonne
Ou alors y s’pique aux hormones.
Ma mie, sur ce détail, notre amour s’écroula.
Je pense quant à moi que dans ces questions-là,
On ne peut jamais faire d’estimations sérieuses,
Il est des perspectives qui sont souvent trompeuses.
Ma Julie est partie avec le voisin d’en bas
Qu’en aurait soi-disant un’ bien plus grosse que moi.
Peut-être que depuis son plus jeune âge
Y tire dessus comme un sauvage.
Ma mie, tout est fini, à jamais, adieu donc !
N’oubliez pourtant pas ce célèbre dicton :
C’est d’après le travail qu’on voit le spécialiste
Et pas à la grosseur du pinceau l’artiste.
Ma Julie est partie avec le voisin d’en bas,
Je me console un peu, pensant par devers moi
Que même si le volume parfois vous émoustille,
Mieux vaut une p’tite nerveuse qu’une grosse qui roupille.
Le Très Véritable Groupe Machin
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Le Très Véritable Groupe Machin
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la mayonnaise qui avait mal tourné
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LETTRE AU PAPE
(paroles Angel CARRIQUI – musique Tony CARBONARE)
clip entièrement d’époque réalise par Patrick Tièche
Ceci pour que le souverain pontife
comprenne bien qu’il est grand temps
de réagir avant que l’influence de U.S.A.
gangrène non seulement toute l’Église
mais encore la totalité des âmes dont il a la charge.
Dans certains milieux très bêtes,
on commence à raconter qu’il est trop tard,
que déjà, Satan ricane et que,
par conséquent, l’âme est ricanisée.
Votre Sainteté, dedans l’Église,
Malgré les adeptes du latin,
Les curetons s’américanisent,
Ça devient de plus en plus certain.
Le notre y cause même plus not’ langue
Depuis qu’y s’est payé la télé,
Y prend son vélo pour un mustangue,
Son goupillon pour un pistolet.
On dit qu’il se croit un vrai shériffe
Et les mauvaises langues vont bon train,
Il aurait mangé du corneed-biffe
Le Vendredi Saint,
Le Vendredi Saint.
Il a délavé son scapulaire
Et sur sa soutane il a écrit
Par devant ainsi que par derrière
California University.
Et faut le voir quand y dit la messe,
Il a mis partout des projecteurs,
On se croirait en plein show-bisnesse
Comme y chante avec les enfants d’ chœur.
Il écoute que de la musique pope
Et les mauvaises langues disent aussi
Qu’il est plus souvent dans les sex-shoppes
Qu’à la sacristie,
Qu’à la sacristie.
Enfin, ça c’est des bruits qui circulent,
On sait pas très bien ce qu’il en est,
Mais y’a quantité de gens crédules
Et y’en a tellement qu’ adorent jaser…
Not’ curé, c’est pas le mauvais gusse
Et malgré tout ça on l’aime bien,
D’ toute façon on le comprend pas plusse
Qu’y cause en anglais ou en latin.
Mais hier il a dépassé les bornes,
A la place de l’hostie du Bon Dieu,
Y nous a refilé du pop-corne
Si c’est pas honteux,
Si c’est pas honteux.
MA CABANE À LA CAMBROUSSE
(paroles Angel CARRIQUI – musique Tony CARBONARE)
J’aime la nature et les fleu-fleurs des champs,
Mon cœur est tout ému et, dieu que c’est touchant !
Je vais m’étendre
Sur l’herbe tendre
En écoutant d’un œil distrait
L’odeur si forte des forêts la la la
L’odeur si forte des forêts la la la.
Le soir,
Au rendez-vous de ma promise,
Je mettrai ma belle chemise
Et mon beau costume à carreaux.
J’irai
Doucement frapper à sa fenêtre
Tout rougissant, pour lui remettre
Mon petit bouquet de poireaux.
Alors,
Nous irions faire une promenade,
Je lui conterais des salades
A cheval dessus mon vélo.
Et puis,
Pour conquérir ma paysanne,
Je lui ferais le coup de la panne
Sur un chemin au bord de l’eau.
J’aime la nature et les fleu-fleurs des champs,
Mon cœur est tout ému et, dieu que c’est touchant !
Je vais m’étendre
Sur l’herbe tendre
En écoutant d’un œil distrait
L’odeur si forte des forêts la la la
L’odeur si forte des forêts la la la.
Après,
Quand on serait mari et femme
Et qu’elle aurait du vague à l’âme,
Moi, je l’emmènerais danser.
Avec,
Ma paire de sabots du dimanche
Je mettrais mes deux mains sur ses hanches
Et même encore du plus osé.
En plus,
On boirait plus que de coutume,
J’aurais taché mon beau costume
Avec le p’tit vin du pays.
Et puis,
La fin serait pas très morale,
Mais la population rurale
Augmenterait petit à petit.
J’aime la nature et les fleu-fleurs des champs,
Mon cœur est tout ému et, dieu que c’est touchant !
Je vais m’étendre
Sur l’herbe tendre
En écoutant d’un œil distrait
L’odeur si forte des forêts la la la
L’odeur si forte des forêts la la la.
MOI, J’ETAIS UN FOLKEUX
(paroles Angel CARRIQUI – musique Jean-Pierre ROBERT)
Moi, j’étais un folkeux,
Tire à la rondelle et rabats ta queue,
Moi, j’étais un folkeux,
Maint’nant, il faudrait que je me relookeu.
Quand j’entends un air vieux,
Tire à la rondelle et rabats ta queue,
Quand j’entends un air vieux,
J’y comprends plus rien, ça me met plus le feu.
Moi, j’étais un folkeux,
Tire à la rondelle et rabats ta queue,
Moi, j’étais un folkeux,
Un vieux de la vielle, un authentiqueux.
J’veux bien être un rapeux,
Tire à la rondelle et rabats ta queue,
J’veux bien être un rapeux,
Mais quand je hip-hope y faut défaire les nœuds.
Moi, j’étais un folkeux,
Tire à la rondelle et rabats ta queue,
Moi, j’étais un folkeux,
J’ai pris des cachets, ça va toujours pas mieux.
J’veux bien être un techneux,
Tire à la rondelle et rabats ta queue,
J’veux bien être un techneux,
Mais l’informatique et pis moi, ça fait deux.
Moi, j’étais un folkeux,
Tire à la rondelle et rabats ta queue,
Moi, j’étais un folkeux,
Maint’nant, il faudrait que je me relookeu.
Moi j’étais un rockeux,
Et j’suis encore malheureux,
Ma baby qui m’a quitté
N’est toujours pas rentrée… et ouais !
Moi, j’étais un folkeux,
Tire à la rondelle et rabats ta queue,
Moi, j’étais un folkeux,
Maint’nant, il faudrait que je me relookeu…
LA FILLE DU GARDIEN DE PHARE
(paroles Angel CARRIQUI – musique Jean-Pierre ROBERT)
La fille du gardien de phare,
Le bleu pâle de ses yeux,
Rend l’océan blafard
De Vesoul à Périgueux…
Oh oh oh
La fille du gardien de phare,
Elle nous mène en bateau.
La fille du gardien de phare,
Le blond de ses cheveux
Malgré nos lunettes noires
Il nous fait mal aux yeux…
Oh oh oh
La fille du gardien de phare,
Elle nous mène en bateau.
Ohé, pas de pot,
Elle nous allume et nous rembarre
On navigue tous au radar…
La fille du gardien de phare,
On est tellement nombreux
A s’échouer pour la voir
Qu’il nous faut faire la queue
Oh oh oh
La fille du gardien de phare,
Elle nous mène en bateau.
Ohé, pas de pot,
Elle nous allume et nous rembarre
On navigue tous au radar…
La fille du gardien de phare,
D’après le qu’en-dira-t-on
A choisi un veinard,
Le fils du gardien de prison.
Demain, on ira voir
Le cœur de papillon
De la fille du chef de gare
Qui aime les moussaillons.
Ohé, pas de pot,
Elle nous entraîne et nous égare,
On arrive toujours en retard…