A.C.R.O.S.T.I.C.H.E. …

… A.C.R.O.S.T.I.C.H.E. …
…. Certains soirs, je repense à nos amours anciennes, On ne reverra plus ma main dedans la sienne. N’ayant su résister à quelques vents contraires, Notre idylle n’a connu qu’un bref itinéraire, Alors elle est partie avec ce blond filasse Sans même un seul regard qui me réconfortasse, Séchant un peu mes larmes, retenant mes soupirs, Et ne me laissant plus qu’un seul mot à lui dire.

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